Unscarabée s’invita sous le chemisier blanc à col haut porté par Meryl Streep dans le film, lors du tournage d’une scène. Jean Paul Gaultier est le créateur des costumes de ce film de science-fiction devenu culte. La robe de Milla Jovovich, blanche et avec de larges espaces pour entrevoir le corps, est devenue emblématique de ce film de Luc Besson. Jean-Paul Gaultier a dessiné danseurs Vêtements choisis dans les collections de Jean Paul Gaultier 1166 16 -16 ---WHA , , création chorégraphique de Régine Chopinot et sa compagnie pour 10 danseurs. Vêtements choisis parmi les costumes réalisés pour les ballets antérieurs Commissaire d’exposition : Olivier SaillardOlivier SaillardOlivier Saillard Cettetrès belle exposition offre un regard inédit sur ce vêtement emblématique, entre tradition et modernité. Kimono – Au bonheur des Dames Musée national des arts asiatiques – Guimet Synopsis Jean-Paul Gaultier est un créateur de mode français né le 24 avril 1952 à Arcueil, dans le Val-de-Marne, en France. À 18 ans, il rejoint la maison de Pierre Cardin avant de rejoindre Jacques Esterel et Patou. La première collection de Gaultier date de 1976, mais il n’a officiellement lancé sa propre maison de design qu’en 1982. FlorenceTétier, une directrice créative à la tête de Jean Paul Gaultier. Si elle est née et a grandi en banlieue parisienne jusqu’à ses 18 ans, c’est en Suisse que Florence Tétier a Ij3V2FX. Publié le 26 octobre 2021 à 14h51 Dita Von Teese lors du défilé Jean Paul Gaultier printemps-été Haute Couture 2020/2021 - © Stéphane Cardinale / Corbis / Getty Images L’enfant prodige de la mode va lancer un service inédit de location. On a hâte. En mai dernier, la griffe Jean Paul Gaultier a collaboré avec 5 jeunes créateurs et a ainsi relancé son prêt-à-porter. Aujourd’hui, le grand couturier français se réinvente encore et lance un service de location permettant de louer plus de pièces de ses anciennes collections. Lancé demain, mercredi 27 octobre, sur le site de la marque fraîchement remanié, ce nouveau service permettra de réaliser – n’ayons pas peur des mots - certains fantasmes. Trente vêtements et accessoires crées par Jean-Paul Gaultier à toutes ses époques seront disponibles sur le site dès demain, et la sélection changera en fonction des tendances émergentes. Niveau prix, il faudra compter entre 150 € pour un foulard et 700 € pour une robe-cage iconique. De quoi se mettre dans la peau de Madonna le temps d’une soirée. Lire aussi >> Histoire d’une tenue le soutien-gorge conique de Madonna au Festival de CannesDes pièces d’archives également en venteEn parallèle de ce service de location, la maison se lancera dans la vente de seconde-main et proposera des pièces d’archives provenant de clients privés ou de revendeurs. S’il ne sera pas possible de se procurer le bustier conique et iconique en satin vert et rose porté par Madonna en 1990 lors du Blond Ambition Tour car vendu en 2012 pour la somme de $, on pourra se consoler avec d’autres créations tout aussi emblématiques du créateur français, sûrement plus abordables que le bustier de la reine de la pop. S'il avait annoncé mettre fin à sa carrière longue de 50 ans en janvier 2020, Jean Paul Gaultier n'avait pas tardé à annoncer une collaboration haute couture avec la créatrice japonaise Chitose Abe du label Sacai. En attendant de la découvrir, l'immense couturier revient au prêt-à-porter avec 5 créateurs parmi les plus talentueux de leur génération et qui partagent ses valeurs de liberté et d'inclusivité. Nix Lecourt Mansion, Alan Crocetti, Palomo Spain, Marvin M'Toumo et Ottolinger ont ainsi revisité l'héritage de Jean Paul Gaultier à travers la collection événement “Les Marins”, un des thèmes emblématiques du couturier. Une collection disponible dès le 28 mai sur l'e-shop de la maison. Combinaison Lecourt Mansion pour Jean Paul Gaultier Ensemble Ottolinger pour Jean Paul Gaultier Ce mois de mai 2021 marque un nouveau tournant pour la maison Jean Paul Gaultier qui renoue avec le prêt-à-porter, activité stoppée en 2015. Sur Instagram, via le hashtag futureiscollective et à travers deux images qui mettent en scène Tanel Bedrossiantz - mannequin masculin emblématique de la maison - et Bella Hadid, le couturier dévoile, à l’occasion du mois des fiertés, un tout nouveau projet. Composée de pièces unisexes et inclusives, cette collection s’articule autour d’un de ces thèmes favoris, le mythe du marin. Introduite dès son premier défilé en 1983, la marinière est un élément mythique du vocabulaire de Jean Paul Gaultier. Si elle s’impose comme une réminiscence de son enfance, elle évoque également le film à haute tension homoérotique Querelle de Fassbinder 1983 dont le héros est un marin sensuel qui inspirera la figure du Mâle, grand succès des parfums Jean Paul Gaultier. Pour cette collection, le studio de haute couture revisite la marinière à travers 6 pièces lacérées, recomposées, rassemblées, transformées, tandis que des pièces vintage et upcyclées seront proposées à la vente comme les tee-shirts transparents en mesh, des robes de marin ou des casquettes en jean. “En fait, je ne sais pas du tout ce que veut dire ce mot [upcyclé], mais je l’ai utilisé car “up” me faisait penser à la haute couture. Il s’agit donc de recycling avec ma propre couture, que j’ai mélangée aussi avec du prêt-à-porter”, confiait le créateur dans une interview à Numéro. Mais ce n’est pas tout. Jean Paul Gaultier s’est également entouré de 5 créateurs parmi les plus prometteurs de leur génération, qui partagent les valeurs de liberté, tolérance et créativité du couturier ainsi que des similarités dans leur parcours et dans leur vision de la mode. Pour cette collection Les Marins, Nix Lecourt Mansion, Ottolinger, Palomo Spain, Alan Crocetti et Marvin M’Toumo transcendent ainsi des pièces ou éléments emblématiques de la maison en créations contemporaines, offrant un nouveau regard sur l’héritage foisonnant du créateur. Avec ces “tenues de soirée pour personnes flamboyantes” inspirées de femmes à la personnalité singulière comme Dolores Sanchez – la première femme matador espagnole –, puis Séverine Sérizy – le personnage incarné par Catherine Deneuve dans Belle de jour –, puis la prêtresse vaudoue Marie Laveau, Nicola Lecourt Mansion séduit en 2019 l'ANDAM qui lui décerne le Prix Pierre Bergé. Si elle s’inscrit davantage dans la lignée d’un Thierry Muller pour le côté dramatique et empowerment de ses créations, elle partage avec Jean Paul Gaultier un amour de la tradition haute couture qu’elle mélange allègrement à des références pop ou à des pièces d’inspiration lingerie. De son côté, le créateur espagnol Alejandro Palomo, fondateur de Palomo Spain, propose saison après saison des collections baroques et subversives, riches en ornements et en détails romantiques, qui bousculent le vestiaire masculin en piochant dans l’histoire du costume et surtout dans une esthétique éminemment féminine. Pour le duo allemand Ottolinger, composé de Cosima Gadient et Christa Bösch, la mode s’impose comme un laboratoire d’expérimentation où elles imaginent des créations brutes, asymétriques et déstructurées, à partir de tissus déchirés, altérés de taches de peinture et parfois même brûlés, réassemblés en patchworks savants qui témoignent d’une créativité sans limite. Au sein de cette collection exceptionnelle, Jean Paul Gaultier invite également Alan Crocetti dont les bijoux brisent les codes du genre tant par leur design brut voire agressif que par le porté lui-même. Un sparadrap en argent posé sur le nez, des anneaux qui habillent le cartilage de l’oreille ou la lèvre inférieure, des bagues et bracelets qui emprisonnent les doigts entre eux… le créateur brésilien puise dans les cultures underground et dans un rejet de la tradition joaillière classique pour proposer des collections d’une grande liberté créative, tout comme Jean Paul Gaultier à ses débuts. Enfin, Marvin M’Toumo, lauréat du prix Chloé au Festival de mode d'Hyères en 2020, complète cette sélection éclectique. Le chanteur, danseur, performeur et mannequin proposait pour le festival une collection ludique composée d’une multitude de personnages archétypaux - inspirés par des noms d’oiseaux - qui puisent autant dans la haute couture que dans le costume. Body Marvin M'Toumo pour Jean Paul Gaultier Denim Palomo Spain pour Jean Paul Gaultier Le 22 janvier 2020, Jean Paul Gaultier présentait un défilé spectaculaire qui venait clore une carrière longue de 50 ans d’une richesse et d’une créativité exceptionnelles. À l’orée des années 80, Jean Paul Gaultier, surnommé “l’enfant terrible de la mode” a bouleversé l’univers de la haute couture avec des collections inspirées par les cultures populaires et underground, les stars du cinéma et de la musique et au sein desquelles transparaissent son esprit rebelle et son goût de la provocation. Au sein de cet ultime show grandiose qui réunissait Boy George, Dita Von Teese, Rossy de Palma, Béatrice Dalle, Kiddy Smile et Mylène Farmer ainsi que les top models Karen Elson, Bella et Gigi Hadid et Irina Shayk, Jean Paul Gaultier présentait un florilège de ses meilleures collections costumes de marin, corsets coniques, robes de Marianne, total look jean destroy, combinaison tatouage, smokings revisités, ou encore silhouettes de madones et looks masculin-féminin se sont succédé avec effervescence et émotion. Coup de théâtre, quelques jours après cet évènement, le couturier confiait à Numéro ne pas fermer sa maison, mais préparer de nouveaux projets plus en phase avec l’industrie actuelle. Il nous confiait alors “J’ai trouvé un concept que je ne peux pas encore dévoiler, mais qui correspond à l’époque et qui permettra aux collections de couture de continuer sans moi. C’est tout à fait possible, il y a plein de jeunes – et de moins jeunes – qui ont du talent.” En mars 2020, Jean Paul Gaultier dévoilait les prémices de ce nouveau concept couture qui consiste à inviter chaque saison un designer à réinterpréter les codes de la maison française. Chitose Abe, créatrice japonaise à l'origine du label Sacai et connue pour son approche avant-gardiste du vêtement, sera la première à collaborer avec le couturier français, lors d’un défilé dont la date demeure encore inconnue - repoussée à cause de la pandémie. Retrouvez la collection sur Ensemble par le studio Jean Paul Gaultier Swimwear38FRVery good conditionMulticolour, PolyesterBelgium, from the seller julianAuthenticity & Quality controlDetailsJPG Maille pareo top/skirt set. Size M, very stretchy. Perfect condition. Worn once. The bottom can be used as a sarong, skirt or scarf. Very skin worn bare legs or even over informationOnline since2022-08-02Categories WomenCategoryClothingSub-categorySwimwearDesignerJean Paul GaultierConditionVery good conditionMaterialPolyesterColorMulticolourSize38 FRLocationBelgium, from the seller julianReference24804869You may also like Jean-Paul Gaultier fête ses 50 ans de carrière, ce mercredi 22 janvier, au Théâtre du Châtelet avec son tout dernier défilé haute Gaultier et la haute couture, c'est terminé ! Ce mercredi 22 janvier à 20h30, le plus grand des grands couturiers français tire sa révérence avec son dernier défilé Printemps-Été 2020 au Théâtre du Châtelet, à Paris. C'est une page qui se tourne dans le monde de la mode international. À cette occasion et pour fêter les cinquante ans de carrière de l'enfant terrible de la mode, Closer vous propose de faire un bond dans le passé et de découvrir, en images, les débuts de Jean-Paul Gaultier dans le d'une famille modeste de la banlieue parisienne, Jean-Paul Gaultier découvre le monde de la couture, en 1969, grâce au film Falbalas de Jacques Becker. Au début des années 1970, après avoir été refusé par Yves Saint-Laurent, il débute au côté de Pierre Cardin, figure emblématique de la mode de la seconde moitié du XXe siècle, avant de créer, en 1974, sa propre collection qui portera son nom. Après quelques échecs, c'est au début des années 1980 que la marque Jean-Paul Gaultier commence à connaître ses premiers succès. En 1983, il crée d'ailleurs le vêtement qui lui collera à la peau tout au long de son illustre carrière la célèbre Gaultier, c'est aussi une gueule !Dès lors, le grand couturier fait défiler les plus belles femmes de France et du monde à l'image d'Arielle Dombasle à qui il fait porter une robe de mariée, en 1987, ou de Madonna, qu'il n'hésite pas à faire défiler seins nus dans un corset de sa collection, en 1992. En moins de dix ans, Jean-Paul Gaultier est devenu une star que tout le monde de la mode internationale s'arrache. Le grand couturier, qui a décidé très tôt de se teindre les cheveux en blond, n'est pas qu'une marque, c'est aussi une gueule et une joie de vivre qui vont lui permettre, par la suite, de devenir un Dieu dans ce monde si fermé de la haute couture.© BESTIMAGE 2/12 - Jean-Paul Gaultier et Arielle Dombasle à Paris le 10 février 1987 © BESTIMAGE 3/12 - Jean-Paul Gaultier et Béatrice Dalle à Paris le 28 octobre 1987 © BESTIMAGE 4/12 - Jean-Paul Gaultier à Paris le 23 octobre 1987 © BESTIMAGE 5/12 - Jean-Paul Gaultier à Cannes le 23 octobre 1987 © BESTIMAGE 6/12 - Jean-Paul Gaultier à Paris le 30 avril 1988 © BESTIMAGE 7/12 - Jean-Paul Gaultier et Madonna à Cannes le 25 octobre 1990 © BESTIMAGE 8/12 - Jean-Paul Gaultier à Paris le 17 octobre 1991 © BESTIMAGE 9/12 - Jean-Paul Gaultier le 01 décembre 1999 © BESTIMAGE 10/12 - Jean-Paul Gaultier le 01 décembre 1999 © BESTIMAGE 11/12 - Jean-Paul Gaultier le 30 novembre 1989 © BESTIMAGE 12/12 - Jean-Paul Gaultier et Madonna à New York le 14 septembre 1994 C’est dans le cadre de la vente d’objets du Phocéa de Mouna Ayoub qu’ont été exposées et vendues deux robes de Jean Paul Gaultier, modèles de haute couture sur le thème marin ». Michel Pastoureau dans L’étoffe du diable tente de resituer l’histoire de la rayure marine Peut-être l’origine de ces rayures maritimes n’est-elle ni idéologique ni sémiologique, mais simplement textile. La chemise rayée des marins est… un tricot, un vêtement de dessous tenant chaud. Pour des raisons en partie techniques, la bonneterie européenne a surtout produit des pièces de vêtement rayées ». Ensuite historiquement la société européenne a déplacé du grand large vers le rivage la rayure maritime ». Cette rayure bleu-blanc fleurit désormais en bord de plage et signe aussi la France version Armor Lux arborée par Arnaud Montebourg. Adepte de la marinière, Jean Paul Gaultier l’a noblement réinventée en couture avec broderies et plumes. Les deux modèles de Mouna Ayoub sont des vêtements issus de ses collections. Pénélope Blanckaert, l’experte de la partie mode de la vente, décrit les modèles. Lascar est une robe à bandes en tricot de soie marine et ivoire prolongée de plumes d’autruche laquées à décor de rayures ». Un même modèle a figuré dans l’exposition et le catalogue de Les marins font la mode » Musée de la marine en 2009. Il fut aussi porté par Caroline de Monaco au Bal de la rose de 2000. Emblématique, cette robe figure aussi dans l’exposition itinérante du créateur, De la rue aux étoiles » actuellement à Londres au Barbican voir l’antiblogue. Le modèle de Mouna Ayoub a été adjugé 28000€ plus les frais. L’autre modèle, Bateau-lavoir collection la Parigote joue aussi la rayure marine ; en défilé, il fut porté par la Parisienne Inès de la Fressange. Un pull en jersey de soie drapé sur pantalon à pont seul exemplaire en dehors du prototype du défilé. Une enchère de 11 000€ plus les frais. La mode, les deux temps forts de la vente du Phocéa.

vetement emblematique porté par jean paul gaultier